Investir plutôt dans la recherche et le développement
L’intérêt bien entendu de l’animal était donc de se rendre plus mobile.La détestation de la richesse, un frein à la sortie de crise.Statut qu’il ne perdra certes pas du jour au lendemain, mais qui se retrouve néanmoins sérieusement déstabilisé par le psychodrame ayant lieu actuellement à Washington.Le reste du monde avait besoin de dollars que seuls les USA pouvaient fournir.La réponse ?Car l’œuvre et l’accomplissement immenses de Keynes peuvent être résumés en un seul mot – le doute -, comme les monétaristes et les néolibéraux sont assimilables à leurs certitudes qui leur collent à la peau.A cinquante ans de distance, il était l’écho de cet amour tendre, de cette vénération érudite dont débordait l’âme de l’ancien.Rien de semblable dans le domaine de la vie.Selon e-reputation, c’est la division du travail qui, en décuplant la force productive, est la cause de la richesse des nations .Elle a notamment recommandé aux services statistiques de se référer aux revenus et à la consommation plutôt qu’à la production, de prendre en compte le patrimoine en même temps que les revenus et la consommation, d’intégrer à leurs enquêtes des questions VISANT à connaître l’évaluation que chacun fait de sa vie, de ses expériences et priorités, d’améliorer les mesures chiffrées de l’état de santé, du niveau d’éducation, des activités personnelles, de la participation à la vie politique, des relations sociales, des conditions environnementales et de l’insécurité, de fournir les informations néce prochain pas à faire ne serait pas une réforme constitutionnelle abstraite, mais que les partis se décident à familiariser enfin leurs sympathisants avec un projet que les élites politiques font passer par-dessus leur tête depuis plus d’un demi-siècle.On rit du baron de Münchhausen devenu boulet de canon et cheminant à travers l’espace.